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OCTOBRE ROSE : un mois sous le signe du dépistage du cancer du sein.  

En France, le cancer du sein est une réalité pour plus de 900 000 personnes, avec 61 214 nouveaux cas détectés cette année (source : Institut National du Cancer). Il est actuellement le cancer le plus fréquent chez les femmes, touchant environ une femme sur huit au cours de sa vie.

Heureusement, lorsqu’il est repéré précocement, ce cancer peut être guéri dans 9 cas sur 10. C’est pourquoi la campagne Octobre Rose revêt une importance capitale dans la lutte contre cette maladie.

Le mois d’octobre est donc l’occasion de répéter combien il est important de se faire dépister.

octobre rose dépistage

À partir de 25 ans et tout au long de la vie : il est vivement conseillé de réaliser une consultation de suivi gynécologique chez un médecin, un gynécologue ou une sage-femme pour un examen des seins. De plus, il recommandé d’effectuer des contrôles soi-même quotidiennement. Il est toutefois essentiel de noter que ces mesures ne peuvent en aucun cas se substituer à une éventuelle mammographie, qui peut s’avérer nécessaire en fonction de l’âge et du niveau de risque individuel de chaque femme

Entre 50 et 74 ans, ce dépistage doit être renouvelé tous les 2 ans, en l’absence de symptôme ou de risque particulier.  Depuis 2004, il existe un programme de dépistage organisé du cancer du sein qui comprend un examen clinique, pris en charge à 100% par l’assurance maladie, pour détecter tout signe précoce de la maladie, ainsi qu’une mammographie effectuée par un radiologue agréé.

Après 75 ans, le suivi dans le cadre du dépistage organisé n’est plus systématique. Toutefois, en fonction des risques évalués par le médecin ou sage-femme, il est essentiel de déterminer la meilleure approche de suivi et de décider si la poursuite des mammographies est appropriée.

En cas de symptôme, il est important de consulter sans attendre.

Retrouvez ci-dessous des outils et informations utiles concernant le dépistage du cancer du sein :

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Cancers chez l’enfant : découvrez le rapport 2023 de l’INCa 

Source : INCA 

À l’occasion du mois de sensibilisation aux cancers pédiatriques, le rapport 2023 émis par l’Institut national du cancer dresse un bilan de l’année de lutte contre les cancers chez les enfants, les adolescents, et les jeunes adultes en France. Ce rapport détaille les mesures mises en place par l’Institut pour freiner la progression de ces cancers chez les jeunes. 

En France chaque année, près de 2 300 enfants et adolescents, âgés de 0 à 17 ans, sont atteints par un cancer. Si l’augmentation du taux de survie à 5 ans est porteuse d’espoir (il est passé de 81 % sur la période 2000/2004 à 85 % sur celle de 2010/2016), il n’entame en rien la mobilisation et la détermination de l’Institut et de tous les acteurs pour faire progresser la lutte contre ces maladies rares. 

En 2022, tous les champs de la cancérologie ont été mobilisés : 

  • La recherche
  • L’organisation des soins et des traitements pédiatriques 
  • L’offre de soins destinée aux adolescents et jeunes adultes 

Ce rapport comprend notamment : 

  • Des données chiffrées sur les cancers pédiatriques 
  • Les actions menées dans le cadre de la stratégie décennale de lutte contre les cancers 
  • Des éléments sur la place essentielle de la recherche dans la lutte contre les cancers pédiatriques… 

Pour en savoir plus et télécharger ce rapport, rendez-vous sur le site de l’INCa

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Télésurveillance en cancérologie : les 2 webinaires normands sont disponibles en replay !

OncoNormandie, l’OMéDIT Normandie et Normand’e-santé ont organisé, en collaboration avec l’assurance maladie et l’ARS Normandie, 2 webinaires sur la télésurveillance en cancérologie, le 4 juillet et le 3 octobre 2023.

Pour les voir ou les revoir, cliquez sur les liens ci-dessous :

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Télésurveillance en cancérologie : quid en Normandie ? (4 juillet 2023)

Pour qui ? Pour quoi faire ? Pour quels bénéfices ?
Quelle prise en charge par l’assurance maladie ?
Vers quelle organisation et quelles solutions en Normandie ?

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Télésurveillance en cancérologie : benchmark et retours d’expériences en Normandie (3 octobre 2023)

Benchmark des solutions actuellement sur le marché
Retours d’expérience d’utilisateurs régionaux
Identification d’une solution numérique qui sera prioritairement interfacée avec les outils numériques régionaux

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« La prostate, parlons-en ! » c’est quoi au juste ?

En vous baladant sur la place Saint-Sauveur de Caen ce vendredi 15 septembre, vous croiserez sans doute la route d’une prostate géante gonflable et d’un bus d’information… « La prostate, parlons-en ! » fait son grand retour, de 9 h 00 à 14 h 00 pour sensibiliser les Caennais aux maladies de la prostate !

Le cancer de la prostate

Aujourd’hui, le cancer de la prostate est pour les hommes reconnu comme étant le plus fréquent ainsi que le 3ème cancer le plus meurtrier. On recense d’ailleurs en France plus de 50 000 nouveaux cas par an.

Diagnostiquée au plus tôt dans son développement, la maladie peut être traitée à temps afin d’accroître les chances de guérison. La « prostate, parlons-en » est un événement ayant pour objectif de prévenir et d’informer un large public sur l’anatomie, le fonctionnement et les maladies de la prostate.

Pour plus d’informations, téléchargez la brochure “s’informer avant de décider”.

L’action de sensibilisation aux maladies de la prostate : « la prostate, parlons-en »

Le concept de cette action est simple : une exposition itinérante, ludique et interactive, composée d’un bus d’information et d’une prostate géante gonflable de près de 3 mètres de haut sur 5 mètres de long, que les personnes intéressées et/ou concernées pourront visiter pour mieux comprendre son fonctionnement.

Cette année, pour la huitième édition de cet événement, c’est à Caen, place Saint-Sauveur à quelques pas du marché que des professionnels de santé seront présents afin de répondre à toutes les questions des passants sur le sujet.

Rejoignez-nous à l’événement « La prostate, parlons-en » pour en apprendre davantage et encourager une meilleure prise en charge des maladies de la prostate.

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Septembre : mois de sensibilisation et de mobilisation contre les cancers de l’enfant

Près de 2 500 nouveaux cas sont recensés chaque année en France, dont la moitié chez l’enfant de moins de 5 ans.

Le Normandie dispose de 2 services de référence pour le diagnostic et la prise en charge des enfants atteints de cancer :

                  CHU de Caen Normandie                                CHU de Rouen Normandie

Ces 2 services collaborent pour permettre l’accès de tous les enfants normands au différents types de greffe de cellules souches, à la protonthérapie (au sein du Centre François Baclesse) et aux essais cliniques.

Dès que cela est possible, et en fonction des soins à réaliser, l’enfant est pris en charge au plus près de son lieu de vie, en établissement de santé ou à domicile, avec l’appui du dispositif “Pédiatrie OncoNormandie”.

Grâce à cette organisation régionale, soutenue par l’ARS Normandie, les enfants normands bénéficient d’une prise en charge personnalisée et coordonnée (par une infirmière puéricultrice), associant traitements de pointe, innovation et proximité.

Pour en savoir plus et rencontrer les professionnels de la région, rendez-vous le 29 septembre lors de la journée régionale organisée par OncoNormandie…

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La Normandie prend le cancer à la gorge

En lien avec la campagne de sensibilisation européenne sur les cancers des Voies AéroDigestives Supérieures (VADS), la Make Sense Campaign, la Normandie prend le cancer à la gorge en organisant diverses actions d’information, de formation et de dépistage des cancers de VADS sur la semaine du 18 au 22 septembre 2023.

Ces types de cancers font partie des cancers les plus fréquents à l’échelle mondiale. Ils entraînent des conséquences importantes pour les patients et leur entourage. Mieux connaître ces cancers et leurs facteurs de risque permet un repérage plus précoce de leurs symptômes et des signes d’alerte.

 

Retrouvez ci-dessous les actions proposées en Normandie :

Actions de dépistage

CHU Caen : Demi-journée de consultations de dépistage des lésions suspectes au sein de plusieurs cabinets de médecine générale

Six spécialistes O.R.L. et chirurgiens maxillofaciaux (CMF) du CHU de Caen participeront à une campagne de dépistage des cancers des VADS délocalisée au sein de cabinets de médecine générale de Caen et de ses environs. Une présélection des patients symptomatiques ou ayant des facteurs de risque alcoolotabagique sera effectuée par les médecins généralistes et les spécialistes interviendront auprès des patients présélectionnés à raison d’une demi-journée par praticien sur la semaine du 18 au 23 septembre 2023.

Ces consultations permettront d’examiner les patients, de dépister les lésions précancéreuses et/ou cancéreuses et de proposer une prise en charge précoce et adaptée en cas de suspicion. Elles seront également l’occasion d’éduquer les patients sur les facteurs de risque et de sensibiliser les médecins généralistes au repérage des signes d’alertes et des lésions suspectes.

Personnes à contacter :
CMF : Dr Chatellier, chatellier-a@chu-caen.fr
ORL : Pr Babin, babin-e@chu-caen.fr – Dr Bastit, bastit-v@chu-caen.fr

CLCC Baclesse : Journées de consultations de dépistage au sein de pôles de santé du Calvados et de l’Orne

  • Pôle de Santé St Laurent à Caen le lundi 18 septembre 2023
  • Pôle de Santé de Noyer Bocage le mardi 19 septembre 2023
  • Pôle de Santé de la Grace de Dieu à Caen le mercredi 20 septembre 2023
  • Pôle de Santé de Gacé le jeudi 21 septembre 2023

CLCC Becquerel : Journée de consultations gratuites de dépistage des cancers des VADS

Jeudi 21 septembre 2023

Dans le cadre de la semaine européenne de sensibilisation des cancers ORL, qui se déroulera du 18 au 24 septembre 2023, le Centre Henri Becquerel organise,  une journée de consultation gratuite de dépistage afin d’encourager la consultation dès le premier symptôme persistant et de favoriser ainsi le diagnostic précoce d’un éventuel cancer ORL.

Cette journée concerne toute personne qui présente 1 de ces symptômes depuis plus de 3 semaines :

  • Langue douloureuse, aphte ne guérissant pas, plaques blanches ou rouges dans la bouche
  • Mal de gorge
  • Ganglions dans le cou
  • Enrouement persistant, perte de la voix
  • Difficulté ou douleur en avalant
  • Une narine bouchée ou saignement de nez
  • Lésion ou tâche sur la gencive
  • Gêne au niveau du palais
  • Lésion ou tâche sur la gencive
  • Gêne au niveau du palais

Réservez votre créneau pour bénéficier d’une consultation individuelle de dépistage gratuite le jeudi 21 septembre 2023 au Centre Henri Becquerel (Rouen), afin d’être vu par un chirurgien ORL. Vous n’avez pas besoin de courrier de votre médecin traitant, il vous suffit de renseigner le formulaire ici.

Actions de formation et d’information des professionnels

CLCC Becquerel : 30’ Becquerel : Intérêt du pansement d’électrostimulation dans le processus de cicatrisation après une chirurgie oncologique ORL

Mardi 19 septembre 2023 de 12h45 à 13h30 – Conférence ouverte à tous les professionnels de santé – salle de conférence

Téléchargez l’affiche

Personne à contacter : Dr OBONGO-ANGA, Chirurgien ORL – Secrétariat : 02 76 67 30 67

Becquerel : Webinaire : L’après cancer des VADS : séquelles des traitements & prise en charge

Mercredi 20 septembre 2023 à 19h00 – Webinaire réservé aux professionnels de santé

Formulaire d’inscription

Accédez à la page dédiée du CLCC Becquerel

Personne à contacter :
Laurence ANNE, 0276015744, ifhb@chb.unicancer.fr

CLCC Baclesse : Jeudi de l’oncologie : Réhabilitation après un cancer cervico-facial

Jeudi 21 septembre 2023 à 19h00 – Conférences scientifiques réservées aux professionnels de santé

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Téléchargez le formulaire d’inscription

Accédez à la page dédiée du CLCC Baclesse

Personne à contacter : 
Service enseignement, enseignement@baclesse.unicancer.fr

Actions de prévention et de sensibilisation

3C Avranches : Challenge #OnLesEcharpe

Du 18 au 23 septembre 2023 le 3C Avranches propose de participer au challenge  #OnLesEcharpe 

Le concept :

  • Individuellement, en duo, trio… ou par service,
  • Prenez une photo de vous avec une écharpe ou un foulard,
  • Rédigez un message de soutien à la lutte contre les cancers ORL,
  • Diffusez-les sur les réseaux sociaux (vos supports de communication interne et externe) avec la mention #OnLesEcharpe,
  • Taguez le 3C Avranches, Corasso et l’établissement de santé dans lequel vous travaillez ou êtes soigné.s.

Télécharger l’affiche ici

L’objectif : sensibiliser les patients, les proches, les équipes soignantes et administratives comme les personnes extérieures aux structures de soins sur l’impact du tabac, de l’alcool et du virus HPV sur la survenue d’un cancer ORL bien souvent à un stade avancé devant la méconnaissance de ces pathologies.

Le 19 septembre : Le Centre de la Baie et  l’Hôpital Privé de la Baie proposent aux soignants et aux patients de participer au challenge #OnLesEcharpe sur toute la journée du avec la mise à disposition de bandana, écharpes, etc…

Personne à contacter :
Agathe FOURNIER, cccancerologiepdb@vivalto-sante.com

Actions Soins de Support

Centre de la Baie et Hôpital Privé de la Baie

Le Centre de la Baie et  l’Hôpital Privé de la Baie proposent une journée de sensibilisation au cancer ORL le mardi 19 septembre de 10h à 14h autour d’un atelier cuisine adapté aux patients ORL (en cours de traitement ou post traitement). Lors de cet atelier :

  • Les patients et leurs proches seront conviés à participer avec la diététicienne à l’élaboration d’un repas adapté (apport énergétique, travail sur les goûts, texture…) ;
  • Les infirmières en addictologie proposeront un quizz “idées reçues” sur la consommation de tabac et alcool ;
  • La psychologue et l’assistante sociale répondront aux éventuelles questions et interrogations des patients ;
  • Une aide-soignante du service d’oncologie proposera une animation sur la réalisation des soins de bouche.

Lors de cette journée, l’association Corasso sera également présente pour informer et sensibiliser les patients sur les cancers ORL. 

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Parcours de soins global après le traitement d’un cancer : l’ARS Normandie lance un 2e appel à candidatures

L’objectif est d’augmenter la couverture territoriale de ce dispositif, déjà mis en œuvre par 10 structures depuis 2022, et de permettre ainsi à tous les normands d’en bénéficier.

Les structures intéressées doivent prendre contact avec OncoNormandie : elles bénéficieront ainsi d’une aide la construction de leur projet et au dépôt de leur dossier de candidature.

Contact : sos@onconormandie.fr

Date limite de dépôt des dossiers de candidature : 29 septembre 2023

Pour retrouver toutes les informations, vous pouvez cliquer sur les liens ci-dessous :

 

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Le parcours de soins global après le traitement d’un cancer permet le financement d’un forfait de 4h de soins oncologiques de support :

  • Bilan en activité physique adaptée
  • Bilan +/- consultations psychologiques
  • Bilan +/- consultations diététique

Chaque patient bénéficie d’un parcours personnalisé, en fonction des besoins identifiés par le médecin prescripteur.

A l’issue des bilans et consultations, le patient peut bénéficier des autres dispositifs régionaux : IMAPAC et OncoPSY

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L’assurance maladie propose de prendre en charge l’APA pour les patients atteints de cancer !

Comme chaque année, l’assurance maladie publie son “rapport charges et produits” – édition 2023. Intitulé “améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses”, ce rapport est notamment l’occasion de formuler des préconisations pour 2024.

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Parmi ces préconisations : prendre en charge l’activité physique adaptée (APA) pour les patients atteints de cancer.

Quelques extraits du rapport (pages 98 à 103) :

👉 L’Assurance Maladie propose de contribuer à la promotion de la pratique autonome de l’activité physique et de prendre en charge l’APA pour les patients atteints de diabète ou de cancer qui nécessite un accompagnement pour intégrer cette pratique dans leur quotidien.

👉 En complément, l’Assurance Maladie propose de prendre en charge financièrement une partie des programmes d’APA en tant que thérapie non médicamenteuse d’une partie des patients ciblés par les recommandations HAS de juillet 2022. Pour ce faire, il est proposé de porter une mesure dans le cadre du PLFSS 2024 ouvrant la prise en charge par l’Assurance Maladie d’une prestation d’APA auprès de populations pour lesquelles l’APA a montré largement sa pertinence en termes de santé publique et son efficacité médico-économique (…). Elle propose d’engager cette prise en charge en ciblant sur les personnes atteintes de cancer ou de diabète.

👉 La prise en charge financière pour la réalisation de la consultation de prescription et d’orientation par le médecin est prise en charge à 100% pour les patients relevant de l’ALD.

👉 Ensuite, les programmes se déclinent sous la forme d’un cycle d’APA (…) réalisé par des professionnels de l’APA (masseurs-kinésithérapeutes, Enseignants en Activité Physique Adaptée, ergothérapeutes, psychomotriciens) selon les besoins du patient. Ce programme est constitué de deux bilans (initial et final), de séances d’APA et d’accompagnement motivationnel.

👉 Il est proposé une prise en charge partagée entre l’Assurance Maladie et l’Assurance complémentaire en santé s’agissant d’enjeux de santé partagés pour lequel les organismes complémentaires ont développé des offres auprès de leurs clients. Les discussions avec les organismes complémentaires s’ouvriront courant 2023, pour définir au mieux le niveau de prise en charge AMO/AMC sur ces prestations novatrices d’accompagnement d’assurés malades vers la pratique d’une activité physique régulière autonome.

Après plusieurs années d’évolutions réglementaires, et dans la lignée des recommandations HAS actualisées en juillet 2022, la perspective d’une prise en charge de l’APA pour les patients atteints de cancer serait un véritable aboutissement.

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Parcours de santé complexe, coordination des acteurs autour du patient atteint de cancer : comment faire ?

Qu’est-ce qu’un parcours de santé complexe ?
Quand faire appel à un dispositif d’appui à la coordination (DAC) ?

Toutes les réponses dans la vidéo réalisée par le Dispositif d’Appui à la Coordination 27 SUD

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👉 Vous êtes professionnel de santé exerçant en Normandie ?

👉 Vous avez consulté la vidéo ?

👉 Le parcours de santé de votre patient atteint de cancer vous semble complexe ?

👉 Vous souhaitez contacter le DAC de votre territoire ?

📞 Toutes les coordonnées sont disponibles ici

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🤝 OncoNormandie, membre fondateur de la FACS Normandie, apporte son appui aux 12 DAC normands, en leur fournissant des outils d’aide à la coordination des parcours complexe en cancérologie.

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Toxicité rénale induite par le méthotrexate haute-dose : avis d’experts

En 2021, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a sollicité l’Institut national du cancer (INCa) pour élaborer des mesures de prévention et de gestion de la toxicité rénale induite par le MTX-HD, en complément des informations déjà délivrées dans son communiqué, issues principalement des Résumés des caractéristiques du produit (RCP) des spécialités concernées.

En effet, il existe un risque de néphrotoxicité associé à l’utilisation du méthotrexate (MTX), et notamment des spécialités de MTX-HD (doses ≥ 500 mg/m2) indiquées dans le traitement des hémopathies malignes et des ostéosarcomes.
La prévention du risque de surdosage en MTX-HD par retard d’élimination est essentielle pour éviter la survenue d’une toxicité sévère liée au MTX et notamment d’une insuffisance rénale aigüe (IRA).

Pour élaborer cet avis d’experts, l’INCa a réuni un groupe pluridisciplinaire composé d’experts intervenant dans la prise en soins des patients recevant un traitement par méthotrexate à haute-dose, et dans la prévention et la gestion de la toxicité rénale induite par ce médicament. Ce groupe d’experts a fait évoluer la trame élaborée initialement par l’INCa à partir des ressources bibliographiques disponibles sur le sujet de l’expertise.
Cet avis d’experts a ensuite été soumis à une relecture nationale afin d’évaluer la pertinence des conduites à tenir cliniques proposées, ainsi que la lisibilité du document.

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Incidence des 19 principaux cancers en France : FRANCIM publie ses estimations pour 2023

Le réseau français des registres de cancer – FRANCIM – publie dans le bulletin épidémiologique hebdomadaire de Santé Publique France (en date du 7 juillet 2023) un article intitulé :

Incidence des principaux cancers en France métropolitaine en 2023 et tendances depuis 1990

Les cancers constituent un ensemble de pathologies dont la fréquence, le pronostic et l’évolution sont très variables. Dans le cadre d’une collaboration partenariale pour la surveillance des cancers, des indicateurs d’incidence et de mortalité sont produits régulièrement. La dernière étude publiée portait sur la période 1990-2018. L’objectif de celle-ci est d’estimer l’incidence des 19 cancers les plus fréquents, celle de l’ensemble des cancers en France métropolitaine pour l’année 2023 et d’actualiser l’analyse des évolutions depuis 1990, en particulier pour les années récentes. Des projections ont été réalisées à partir des données des registres de cancers observées de 1985 jusqu’en 2018.

En 2023, le nombre de nouveaux cancers, toutes localisations confondues, est estimé à 433 136 cas. Les taux d’incidence standardisés monde sont de 355 et 274 cas pour 100 000 personnes-années chez l’homme et la femme respectivement. Depuis 1990, chez la femme, le taux d’incidence « tous cancers » augmente de façon continue de +0,9% par an. Chez l’homme, ce taux a augmenté en moyenne de +0,3% par an de 1990 à 2023 : après une augmentation jusqu’en 2005, le taux d’incidence a diminué et semble se stabiliser depuis 2012.

Deux cancers ont vu leurs tendances récentes modifiées : le cancer de la prostate, avec depuis 2015 une nouvelle augmentation de l’incidence, et le cancer de la thyroïde, avec depuis 2014 une diminution de l’incidence. Pour ces deux cancers, les projections de l’incidence de 2019 à 2023 étaient incertaines et n’ont pas été réalisées.

Tous cancers confondus, ces évolutions du taux d’incidence combinées aux évolutions démographiques ont conduit à un doublement du nombre de nouveaux cas de cancers depuis 1990 chez l’homme et la femme.

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FRANCIM : c’est quoi au juste ?

Les premiers registres français ont été créés à partir des années 1975 sur des initiatives individuelles dans un double objectif de surveillance et de recherche. En 1986, la création du Comité National des Registres (CNR) a permis d’inscrire les registres dans une politique nationale de santé publique et de recherche. Les registres de cancers, généraux et spécialisés, qualifiés par le CNR se sont alors regroupés en association en 1991 au sein du réseau français des registres de cancers FRANCIM (France Cancer Incidence et Mortalité).

Ce réseau a pour objectif d’harmoniser les pratiques d’enregistrement, de coordonner et de faciliter les travaux réalisés par les registres de cancers existants, de fournir à la communauté les indicateurs épidémiologiques utiles à la connaissance et à la prise en charge des cancers en lien avec différents partenaires institutionnels.

 

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Santé publique France publie 2 articles sur les dépistages organisés des cancers

Dans son numéro daté du 11 juillet 2023, le Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire publié par Santé Publique France consacre 2 articles aux dépistages organisés des cancers.

Le premier concerne le cancer du sein :

Participation au programme de dépistage organisé du cancer du sein entre 2005 et 2021 en France

L’objectif de cet article est de décrire les variations temporelles et géographiques des taux de participation au programme national de dépistage organisé du cancer du sein depuis sa généralisation à l’ensemble du territoire français en 2004-2005, en décrivant les tendances récentes, aux niveaux national, régional et départemental.

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Le second concerne le cancer colo-rectal :

Premiers indicateurs de performance du programme de dépistage du cancer colorectal (participation, tests non analysables, tests positifs). Évolution depuis 2010 et focus sur les années COVID 2020-2021 en France.

L’objectif de cet article est de décrire les premiers indicateurs de performance du programme pour la période 2020-2021 marquée par la pandémie de Covid-19 avec des éléments de tendances depuis 2010.

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