Beaucoup de patients traités pour un cancer vont se poser la question de médecines complémentaires, en plus de leurs traitements carcinologiques, pour les aider.
Dans le cadre du développement des soins de supports, de nombreuses interventions non médicamenteuses sont possibles. Si certaines ont prouvé un bénéfice comme l’activité physique, d’autres doivent encore faire la preuve de leur efficacité. La question est la même dans le domaine de la prévention.
Pour être des interventions validées, ces approches doivent être évaluées avec la même rigueur scientifique que les études dédiées aux thérapeutiques médicales du cancer ou que les études évaluant des campagnes de dépistage dans le domaine de la prévention.
Le CNO organise ainsi un après-midi débat multidisciplinaire autour de ce sujet de l’évaluation scientifique du recours aux médecines non médicamenteuses.
PROGRAMME
14h00 – 14h10 : Mot d’accueil
14h10 – 14h30 : Les médecines alternatives : quelle recherche ?
Stéphanie Träger (Clinique de l’Estrée, Stains)
14h30 – 14h50 : Qu’est-ce que le patient attend du recours à ces médecines ?
Catherine Cerisey (Patients and web)
14h50 – 15h10 : Les premiers résultats de l’étude CYPRES sur les besoins en soins de
support des patients. Amélie Anota (Centre Léon Bérard, Lyon)
15h10 – 15h30 : Bénéfices de l’Activité Physique Adaptée.
Laurence Vanlemmens (Centre Oscar Lambret, Lille)
15h30 – 15h40 : Pause
15h40 – 16h00 : Quel paradigme d’évaluation des interventions non médicamenteuses
(INM) en prévention et soin de cancer ?
Grégory Ninot (Institut du Cancer de Montpellier, Université de Montpellier, Plateforme universitaire CEPS)
16h00 – 17h00 : Table ronde avec l’ensemble des intervenants
Animée par Florence Joly, Emmanuel Babin et Guy Launoy
